Un petit frère amoureux [PV Amynouchette :p]

THE CLOWN.
L'amour est tel un aimant. On ne peut y résister.

L'amour est un oiseau rebelle - Carmen (reprise) L'amour est enfant de bohème. Il n'a jamais, jamais connu de loi ~
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Clown courait. Il ne voulait plus s'arrêter. Il voulait partir loin. Très loin. Loin de ce monde horrible dans lequel il était cible de moqueries permanentes.
Ces enfants ... Ces gamins ! Ils avaient osé ... Osé ... Insulter sa mère ! Sa propre mère ! Qui est un exemple pour lui ! Sa mère qu'il adorait ! Sa mère qu'il vénérait ! Sa mère qui lui avait tout appris ! Il ne supportait plus ces railleries. Il avait tenu bon jusqu'a présent. Mais maintenant, il allait partir. Pour toujours. Loin d'eux. Bien sûr, personne ne se demandera où est-il passé. Non, bien sûr. Tout se fiche bien de savoir ce qu'il devient. Bien sûr. Personne ne l'aime.
Et ces sur ces amères pensées que Clown continuait toujours de courir, sans s'arrêter. Il allait toujours droit devant lui. Il pleurait en continu depuis qu'il était parti mais ses sanglots devenaient de moins en moins bruyants, de moins en moins visibles sur ses petites joues.
Depuis tout à l'heure, il entendait des pas derrière lui. Comme si on lui courait après. C'était peut-être un de ses gamins. Clown ne prit pas la peine de se retourner. Mais petit à petit, il s'épuisait. Et son poursuivant ne semblait même pas essouflé. Abbatu, Clown se décida enfin à s'arrêter. Celui de derrière pila net. La petite boule de chewing gum se retourna lentement ... pour faire face à une elfe ! C'était Cette Elfe. L'Elfe au regard le plus doux, aux manières les plus propres, l'Elfe la plus belle, la plus gentille. C'était tout simplement Amy. Peut-être que celui qui lit en ce moment ces aventures ne comprendra pas qui est donc Amy. Autant vous l'expliquer tout de suite ... Par un Flash-Back

FLASH BACK
Clown pleurait tout seul dans son coin. De ses larmes, il mouillait ses brouillons, sur lesquels étaient dessinés les plans d'un vélo volant et d'une passoire électrique. Il sanglotait et ses larmes semblaient ne jamais vouloir s'arrêter.
Il était tellement abbatu, désespéré, malheureux, qui ne faisait même plus attention à ce qui l'entourait. C'est ainsi qu'une jeune elfe, assez jolie ma foi, s'introduit dans sa petite cabane, dans le but de le réconforter.
Ils ne se connaissaient pas mais l'instinct de l'Elfe était solidaire, généreux. Elle n'aimait apparement pas voir les gens pleurer. L'Elfe l'entoura de ses bras et lui chuchota des paroles réconfortantes. Elle avait assisté à la scène. Le harcèlement moral que ce petit être subissait était tout simplement intolérable.
Au bout d'un moment, Clown cessa de sangloter et remarqua l'Elfe. Elle était là, juste devant lui, magnifique. Ses cheveux ondulaient et tombaient en cascade sur ses épaules, ses yeux étaient brillants, son nez était petit et mince, ses joues étaient à croquer, sa bouche faisait une moue adorable, son menton était mignon *et oui*, son cou n'était pas trop long, sa poitrine ... bon nous passerons ce détail, son ventre tout fin, son .... nous passerons ce détail aussi { Car en effet, elle était peu vêtu et le morceau de toile qui recouvrait son sexe était, comment dire, très moulant - ? - enfin Bref), ses longues jambes magnifiques, ses pieds doux, ses bras tout fins. Aa ! La beauté incarné ! Clown, malgré son jeune âge, remarqua cela au premier coup d'oeil chez elle.
Depuis, elle vient le réconforter dans les moments difficiles. Elle le traite un peu comme son petit frère. Mais lui, lui ... Il l'aime. Sincérement. Son caractère est adorable. Elle collectionne les qualités, tandis que lui, il fait de même avec les defauts -selon lui-
Ces derniers temps, elle s'occupait moins de lui. Il avait grandi. Et elle aussi.
Mais elle lui manquait toujours. C'était son amour de jeunesse. Amours qui durait depuis longtemps. Et dont elle ne s'est jamais rendue compte.
FIN DU FLASH BACK

Elle était donc là. Devant lui. Son tour de poitrine avait augmenté depuis la dernière fois ( et oui. Ca fait un peu macho quand c'est cela qu'on repère en premier, mais Clown est un mec ! :p). Elle était encore plus belle. Dans son regard, il y avait toujours cette étincelle.
Ils étaient là, les bras ballants (même si Clown n'avait pas véritablement de bras),et ne savaient que dire. Ce fut Clown qui se lança en premier :

" _ C'est toi qui me suis depuis tout à l'heure ? Pourquoi ? "

» Un petit Rp ??

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