Je me réveilla. Je me donna un bon coup sur la tête pour me réveiller, le bruit du choc résonna. En même temps... Qu'est-ce qui pourrais bien il y avoir dans un cerveau d'écureuil, franchement... A par le mot noisette ils connaissent p'tête pas autre chose ! Bref. Je m'étira et regarda autour de moi. Eh oui... Je suis encore à ce paradis... ViVANT ! Où tout les animaux sont magiques et sympathiques ! Enfin... certains. Je me mis à me toiletter pour que personne ne me soupçonne de penser que certains sont... méchants. J'entendis un bruit d'eau et de... plastique. Cela doit paraître stupide, mais, oui, dans ce paradis, oui, il y a des rivières de... plastique. Vous voulez voir ?! On y va si vous voulez ! Okey. Okey. Je partis vers la rivière à toute allure, ma queue touffue me suivant elle aussi. J'arriva devant la rivière. Vous voyez ?! Qui avait raison ?! C'est Qui-Qui ?! C'est Leelo ! Bon, okey, ça colle pas. Bref. Je coura et bondis au milieu du lac, car, oui, ce n'est pas une rivière mais un lac. Quelle différence ? Aucune idée ! Mais ici ils sont stricts sur les noms. Bref. J'ai bondis au milieu du lac mais moi voila maintenant sur un bon endroit confortable, plein de plastiques, certes, mais très confortables ! Je m'allongea et regarda les fourrées droit devant moi. Je les vis bouger et quelques choses en sortir. Quelqu'un que je connais ? Ou pas ? M'enfin, après tout, ici on est tous potes ! Nan ?

« Saloute' man' pote ! »

Ah oui. Parce que j'vous avait pas dits J'ai un accent qui se voit assez, 'fin, vous l'avez sans doutes remarquez avec mon " Saloute man pote " nan ? La chose me répondit pas, tardait à répondre ou alors je ne l'avais pas entendu. Ce qui était possible vu la tête que faisait la " chose ", comme je ne voyais pas qui c'était... Je me mis à rebondir sur mon tas de plastique bien confortable. Pourquoi ? Aucune idée ! Mais, vous savez, souvent j'ai les écureuils, d'un coup ils ont envies de sauter partout, l'autre coup de dormir, etc... Alors, voilà quoi ! La chose n'avait pas répéter sa question. Je m'arrêta, le regarda, il me regarda, et je lança. :

« T'es en beug ? »

L'animal, ou plutôt, la chose devrais-je dire, comme, à cette distance, je ne distinguait pas la " chose ", s'apprêtait à répondre. Je rebondis encore une fois et du coup elle ne dit rien. Je m'arrêta donc, curieux de savoir qui il ou elle était... En tout cas, ça devait être un poto' ! 8D

[Message édité : j'ai changer mes couleurs on les voyait pas trop. ^^]

[ J'ai pas trop d'inspi, mais il fallait quand même que je fasse un rp, de quoi j'aurais l'air si je faisais que flooder ;P ]

PILICK

Je m’étirai en baillant. Mes muscles était paralysait a cause de cette mauvaise nuit. En effet, je n’avais pas très bien dormi. Hier soir, je peaufinais mon plan pour échapper à mes parents. Ce n'est pas que je ne les aime pas, au contraire, je les adore ! Mais j'ai prévu d'allez visiter les environs. Vous vous demandez sûrement quelle était le problème ! Le seul petit problème aux yeux de ses parents est que j’ais 3 mois, et que eux, ce n'est pas prudent d'explorer ces divers paysages, plus beau les uns que les autres. Mais j'aime visiter le sud, le nord l'est ou même l'ouest !
Mon plan était terriblement simple, voyez vous. Je m'éclipse discrètement, et si il y a quelque de réveillé, je dis que j'ai besoin de faire mes besoins. Je vais lentement dans la minuscule clairière, et, de là, je choisis ma destination.
Aujourd'hui, j'avais prévu d'aller voir le lac en plastique, dans le nord. Il y avait une petite trotte, c'est pour ça que j'ai dut me lever tôt. Je m’ébrouai pour enlever la terre sur mes piquants.

Je trottinai vers la clairière, comme le veux mon plan, et me dirigea vers le Nord. Une douce lumière illuminait les magnifiques piquants sur mon dos. Mon préférée, celui violet prune et bleu ciel était dressé vers le ciel, comme si il voulait s'envoler vers les nuages.
Je rigolai et contempla les environs. Le paysage doux et lumineux avait laissé place à une forêt de pins et de sapins. Après une ou deux heures de marche, j’arrivai enfin au lieu où je voulais me rendre : Le lac en plastique.

Je m’avançai, émerveillais. Le soleil illuminait un petit champ de marguerite, où, au milieu, un immense lac, avec une surface molle et dur à la fois.
Je restais ébahi par cet impressionnant spectacle. C'était tout à fin extraordinaire. Il eut envie de courir et de plonger sur le surface gélatineuse quand je vis que quelqu'un avait déjà eut se plaisir.
Il y avait en effet un espèce d'écureuil qui était déjà sur le lac. Les muscles paralysés par appréhension, je me demandai si cette créature était gentil ou méchante.
Celle ci m'adressa justement la parole :

« Saloute' man' pote ! »

Gnia ? Il a dit quoi là. Je restai là, honteux de n'avoir pas compris. Mon cerveaux travaillait à plein régime pour trouver la signification de cette mystérieuse phrase.
Mais quand enfin j'eus compris, il lança en me regardant :

« T'es en beug ? »

Il paraissait sympathique, pensai-je. Je m'approcha à pas de velours et dis, joyeusement :

- Salut !!! Je suis Pilick ! Et toi, qui es-tu ?

Et prenant mon élan, sauta sur l'étrange surface qui recouvrait le lac et ma lova aux cotés de l'étrange écureuil. C'est fou ce qu'on était bien ici ! Je rentrai mes piques pour ne pas abîmer le lac, il ne fallait quand même pas trouer cette petite merveille, non ?
Ma famille m'avait toujours interdit de parler aux inconnus, mais c'était si tentant de faire de nouvelles rencontres ! Je me tournais vers mon nouvel ami et lui souris, heureux d'être là.

[ Je me suis bien éclatée, sur ce rp ]

PILICK

L' étrange écureuil me fit un peu de place, sur cette grande surface plastifié. Que le substance est drôle ! Elle me fait brièvement penser à de la chair de cerise, allez savoir pourquoi. Après tout, peut être que ça avait un gout de cerise ...
Je baissai la tête, pris d'un doute. Mais la lac ne sentait rien. Dommage, car j'est bien envie de manger de ou trois cerises. La longue marche pour arriver jusque ici m'a fatigué et affamé. Je tourna ma truffe vers mon ami, celui ci me répondit d'ailleurs :

« Leelo' ! Enchantée. »

Leelo'. Quelle drôle de nom. C'est un nom de grenouille. Je m'esclaffai intérieurement. On va bien s'entendre, tout les deux. Je le sens. Quand j'étais petit, je veux dire, encore plus petit que maintenant, j'avais entrepris d'adopter une grenouille. Je l'avais appelé Leeladora, mais je n'arrivais pas à le prononcer, je l'appelé donc Lee'. Tout simplement Lee'. Et, c'est une curieuse coïncidence, je viens de rencontrer Leelo', mais je le surnommerais Lee'. Sa me fera penser à ma pauvre petite grenouille. Vous vous direz : Pourquoi pauvre ? Et bien parce que, un jour, je l'est retrouvé toute raide, et tout blanche. Elle était bizarre. J'essayais de la réveiller, car je pensais qu'elle avait fait un cauchemars, mais elle n'a jamais r'ouvert les yeux. Ses grands yeux jaunes fluorescent. Ils étaient magnifiques. Ma maman m'a dis qu'elle avait rejoins le ciel, et qu'elle chassait les papillon sur le nuages.
Mais j'ais eut beau regarder le ciel et interroger les papillons, je ne l'est plus jamais revu. C'est dommage, mais au moins, elle est heureuse. J'essaye de me tenir à cette idée, qu'elle est heureuse, là haut.

Quand je sortis de mes pensées, je vis que mon ami Lee' avait arrêter de sauter pour me regarder. Je le regardai à mon tours, en souriant.
Il me dit signe, et on sortit du lac. Mon nouveau copain va chercher des noisettes qu'il avait posé non loin du lac. Peut être habité t'il ici. Je n'aime pas les noisettes. Ça n'a pas un gout de cerise. Et j'aime les cerises. Que les cerises. Heureusement, il ne me proposa pas de ses noisettes. J'aurais été gêné de lui dire que je n'aime pas ça. Peut être que vous vous interloqué s, mais, moi, quand quelqu'un me dit qu'il n'aime pas les cerises, ça me met en colère. Et si Lee' aime autant les noisettes que j'aime les cerises, notre amitié pendrait aussitôt fin.
Je vous dis sa parce que, une fois, un vers de terre m'a dit qu'il n'aimait pas les cerises. Et j'ai étais très fâché contre lui. Je suis aussitôt partis, car quelqu'un qui n'aime pas les cerises et quelqu'un qui n'est pas fréquentable.
Quand Leelo' eut finit de manger ses noisettes, il se tourna vers moi. Je vis alors ses yeux. Et, étrangement, ils me firent pensé à ceux de Leeladora. Peut être parce qu'ils ont le même forment. J'éclate de rire. Lee' s'assit, contrarié, et je lui dis, aussi simplement que possible, mais en évitant tout de même de le blesser :

" Tu ressembles à une grenouille ! "

Je lui souris béatement. Avec un peu de chance, il ne me prendra pas pour un trisomique, mais le situation est si drôle !!!

Pilick

Je rigolai pendant longtemps. Une grenouille ! Cette si mignonne et si étrange créature ! Je les avaient souvent observés, essayant de savoir comment elles marchent. Pourquoi saute t'elle ? Pourquoi ne rampe t'elle pas ? Comme les terrifiants serpents qui rodés près de sa cachette de cerises. Je n'aimais pas les serpents. Ce sont des être absurdes et perfides, terrifiant qui plus est ! Je frissonnai au souvenir de cet animale qui me terrifiait et me terrifie toujours autant.
Mais quand je repris mon sérieux, j'avais vu que j'avais blessé Leelo'. Il avait une mine renfrognée et vexée. Je ne savait pas du tout pourquoi ! C'était peut être le fait que je l'est traité de grenouille. Certaine personne perçoivent sûrement ça pour une insulte. Qu'est ce que la psychologie animal est fascinante ! Les autres êtres peuvent avoir des réactions qui nous déroutent.
Et c'est le cas pour Leelo' quand il me répondit d'un ton méprisant :

« Toi à un ornithorynque ! »

Quoi ? Un orenito quoi ? Qu'est ce que c'est qu'un orenitoringue ( je fais exprès de pas l'écrire correctement, hein ! ) ?
Un insecte ? Une certaine race de cerise ? Non, sinon je le saurais, moi, en grand connaisseur de cerises !
Était-ce un propos méchant ? Sûrement, vu la tête que tirait mon nouvel ami. Mais sauf que je riait plus du tout.
Il m'avait vexé. Mais moi aussi je l'avais vexé. Il fallait que je m’excuse. Mais l’excentrique l'écureuil tourné déjà les talons, ne voulant pas rester avec moi. J'optai donc pour la technique " pot de colle ", qui marche si bien avec maman quand je lui demande si je peux faire une balade tout seul comme un grand. Et elle lit toujours oui. Mais bon, ça se trouve, Leelo' ne fonctionne pas pareil. Encore question de psychologie.
Je m'enfonçais donc dans les bois avec mon copain. Je me demandai si il allait à sa reserve de noisettes. Mais je ne devais pas être très discret, car il se retourna et me dis :

« Alors, dis-je, l'Ornithorynque tu me suis ? Je fais pas mumuse' avec des boules de mousse moi ! »

Encore question du nom tout biscornu qu'il venait de prononcer. Mais quelque chose d'autre m'intriguer. Les boules de mousses sont mes jeux favoris. Mais comment le savait t'il ? Était t'il télépathe ? Le ton de sa voie était énervée. Mais, cette fois, je ne me laissai pas faire :

" C'est mignons les grenouilles. Je ne comprend pas pourquoi tu te met en colère. Et, en plus, c'est très amusant de jouer avec des boules de mousse. Tout le monde y joue ! "

Je plongeai mes yeux bruns/noisettes dans ceux de mon ami. On m'avait souvent dit de ne pas me laissait faire par les plus grands. J'était déterminé à ce ne pas lâcher le morceaux. Mais il n'ajouta rien, ce qui m'arrangeai.

[ Tu réponds trop vite ! xD Je réponds plus tard. x') ]

[ xD J'avais une heure de libre, aujourd'hui, mais sinon t'inquiète pas, en général je répond en une semaine ( ou alors j'oublie le rp jusqu'à ce que quelqu'un Up ^^" ) ]

« C'est mignons les grenouilles. Je ne comprend pas pourquoi tu te met en colère. Et, en plus, c'est très amusant de jouer avec des boules de mousse. Tout le monde y joue ! »

Ha ha ! Quelle blague ! Il joue avec des boules de mousses. Hahahahahaha !!!! Mais... attends... Moi aussi ! Un peu gêné je ne su que répondre. Je me dandina d'une patte sur l'autre. Pilick' me regardait toujours, en colère. Que devais-je faire ? M'excuser ? L'ignorer ? Ou continuer ? Heu... Hé oui ! J'avais oublié de précisé, je n'arrive J-A-M-A-i-S à prendre de descision. Ou alors, je prends plusieurs heures. Bref. Je dois sans doutes m’excuser. Oh, j'ai pris une descision, et vite en plus !


« Oui, bon, excuse-moi. Je suis désolé... »

J'allais dire quelque chose mais je me retins. J'allais lui demander s'il aimait les cerises. Après tout, pourquoi pas ? Moi j'adore ça ! Mais, si il aime pas, je suis dans le " caca ". Bon, je pris mon courage à deux mains et lui demanda :

« Est-ce que... Est-ce que t'aimes les... les cerises ! ?»

[ cours désolé mais je l'ai fais vite fais ]

Pilick

J'étais terriblement fâché contre Leelo'. Peut être n'était t'il pas aussi sympathique qu'il en avait l'air au premier abords ? Allez savoir ! En tout cas, quand je vis sa mine désolé, je l'est automatiquement pardonné. En même tant, le pardon se donne vite. Très vite. Surtout chez moi, pensais-je en souriant.
Mon nouveau copain Leelo' la grenouille paraissait honteux de s'être comporté de cette manière avec moi. Il devait sûrement joué avec des boules en mousse, lui aussi. Et il devait être mécontent de m'avoir mentit. Mais je m'y attendait, car tout le monde joue avec des boules de mousse.
Une fois, j'ai même surpris ma maman en train de se distraire avec ma balle en mousse moelleuse préférée. J'étais terriblement fâché contre elle, surtout que je ne savais pas comment elle l'avait trouvé, car je la cache toujours sous mon lit, une tactique super secrète que personne ne connais ( ).
Enfin, bref. Mon copain me répondit, désolé :

« Oui, bon, excuse-moi. Je suis désolé... »

Je lui souris pour lui dire que c'est déjà oublié. Mais Leelo' se trouvait mal à l'aise, vu sa manière de se dandiner sur ses pattes, se n'était pas difficile à deviner. Moi, je me sentait bien. Mais pas mon copain, qui, à mon grand désarroi - et aussi à ma grande joie -, il me demanda amicalement :

« Est-ce que... Est-ce que t'aimes les... les cerises ! ?»

Mon visage s'illumina joyeusement quand j'entendis le mot magnifique que venais de prononcer mon nouveau meilleur copain. Ce mot, aussi doux sonne t'il à nos oreilles, il semblait nous chanter une douce berceuse pour endormir les tout petits - en d'autre thermes, moi -, le mot cerise était certainement le plus beau du monde.
Un C comme un carrosse d'une extrême magnificence, un E comme un gentil petit écureuil, comme Leelo', un R comme un mignon petit raton-laveur, un I comme le magnifique pays qu'est l'Irlande, un petit S comme un gracile serpent, et pour finir en beauté, un autre E comme l'élégance de Free Paradise. Et tout ça, le carrosse ; l'écureuil ; le raton-laveur ; l'Irlande ; le serpent et Free Paradise, était une cerise. Un petit fruit rouge, juteux à souhait.
Cerise ♫
J'étais tellement absorbé dans ma confortable béatitude que j'en oublia de répondre. Je m'en aperçut et lui répondit, joyeux :

" Ho, oui !! J'adore les cerises ! Toi aussi ? "

J'avais prononcé cette dernière phrase les yeux pétillant d'un éclat joyeux. Je pencha la tête pour en savoir plus sur les goût de son cher copain.

[ Un peu court, désolé :$ ]

[ Tu me soûles ! xD Tu réponds trop vite ! x) ]

Up ?

[ Désolée. :S Je répond au plus tard en début de semaine prochaine. ;/ ]

OK ^^

[ Court désolée... :/ ]

[ désolé pour la taille et le retard :$ ]

Mon copain Leelo' resta devant moi, dans une confortable béatitudes. Peut être pensait'il aux cerises, comme moi. J'adore les cerises. Mais ça, je vous l'est déjà dit. Je vous est tout dit, je crois. Maintenant, vous me connaissez.
J'observais les nuages. Je trouvais qu'un avait la forme d'un noeud papillon. Ça me faisait rire, car il n'y a rien de plus ridicule qu'un noeud papillon. Maman a essayé de m'en faire porter, une fois. Je l'est jeté dans la petite rivière, à coté de chez moi, car je me trouvais moche avec. Peut être n'aurais je pas du. Mais en tout cas, ne chose est sur, c'est que je n'aime pas les noeud papillon.
Leelo' avait l'air content. Je ne savais pas pourquoi. Si j'était dans sa tête, je le saurais. Mais je n'est pas ce pouvoir là. Dommage. Cela m'aurait aider à mieux comprendre la psychologie animale. Je crois vous avoir dit, plus haut, que je voudrais être philosophe, en plus d'explorateur.
Mon copain me répondit, émerveillé :

" Oui c'est délicieux ! "

Yoopie !!! Enfin quelqu'un qui aime les cerises. C'était encore plus mon copain ! Ensemble, nous pourrions mangé des cerises, et cuisiner des cerises ! Ça allait être génial !
Il continua sa route, je le suivis. e n'allait quand même pas retourné chez moi ?
L'écureuil remarqua qui je le suivait et me demanda :

- Je vais très loin tu sais... Ta famille va peut-être s’inquiéter..."

Je restai un moment dans mes songes. Ma famille ... tiens, je n'y avais pas repensé. Enfin, ma famille adoptive.
Je lui répondis :

" Non, ne t'inquiète pas. Ils sont habitué à ce que j'aille loin. Il ne se font plus de soucis pour moi, car ils savent que je suis débrouillard, et qu'il ne pourraient pas m'empêcher d'aller me balader. "

C'est vrai, ils avaient déjà essayé de me retenir, ils n'avaient pas réussi. Je suis trop fort, je gagne à chaque fois !